Le TGM ou la vie de bohème
En effet, ceux-ci, en quête d’un minimum de confort, qui fait même défaut dans ce compartiment prétendument confortable, payent le «prix fort» pour, finalement, sombrer dans le chaos total, puisque pas moins de 90% des voyageurs sont, soit munis d’un ticket de seconde classe, soit tout simplement dépourvus d’un quelconque titre de transport, la resquille multipliant à l’envi ses émules. Afin de circonscrire un tant soit peu pareils dépassements, n’est-il pas opportun de procéder à un contrôle serré, au moins à partir des départs de Tunis vers la Banlieue-Nord ? Et dire qu’il s’agit là de la plus bénigne des «prérogatives» de la SMLT. Au fait, que les responsables de notre bonne vieille ligne TGM excusent cette immixtion dans leur travail.
Wahid SMAOUI